Sa chair se fendait pour moi,
Rose, nacrée, indécente
Sous ma langue gourmande
Sa peau laissait exuder
Un suc délicat, dont la quintessence
Exacerbait mon appétit
Des yeux, des doigts de la bouche
Je fouillais cette intimité offerte
Innocente pourtant
Mais où mon imagination débridée
Me projetait vers toi, mon amour
Alors que je dégustais
Une grenade !
Marcek (Les souvenirs d’Octave )
lundi 8 décembre 2008
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